• Pause indéterminée

    DE L’AUTRE CÔTE DU BONHEUR

    De l’autre côté du bonheur,
    Au pays des pierres qui parlent,
    Floraison des années en douleurs,
    Meublent les frissons insensés tout pâles,
    Des blessures malsaines en affreux bruits,
    Celles qui ont l’intelligence de massacrer les nuits.
    De l’autre côté du bonheur,
    Le regard à l’aube du cœur
    Le bien, le mal, dans un coin sombre,
    Tremblent de je ne sais quoi dans l’ombre.
    L’âme se perd et palpite sous un voile,
    Dans une nuit où il n’y a plus d’étoiles.
    De l’autre côté du bonheur,
    Dans les jours perdus des vertus et des illusions,
    Les larmes des heures, vont sans but, sans visions.
    Plus rien ne les atteint dans leurs mystères paisibles,
    Pour devenir aux yeux des êtres, des gouttes insensibles.
    Il sera toujours, le temps du jour vers l’heure de la nuit,
    Pour que le cœur ainsi troublé rêve au-delà de minuit.
    De l’autre côté du bonheur,
    Je m’aperçois ne pas rêver, mais la nuit me poursuit,
    Je tourne la tête sans regarder en arrière dans l’ombre de la nuit, 
    Mais l’ombre ne fond point et s’acharne sans voix,
    Rien n’arrête sa présence, qui m’attire dans les bois.
    C’est une procession dans un temps désespéré,
    Mon âme continue de chanter: miséréré



    Je ne peux pas poursuivre le blog pour l’instant
    Je vous garde dans mon cœur tout le temps
    Bien amicalement à tous

    Claude

      

     

     


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  • BONNE FËTE MAMAN....BONNE FÊTE A TOUTES LES MAMANS


    BONNE FÊTE MAMAN

    Maman,
    Ma voix s’éclaire à ton firmament,
    Chante un air sublime : Maman.
    C’est un air sacré le dire mon cœur tremble,
    Il est très doux, ton amour en toi ressemble,
    A la passion d’un feu d’orage dans tes yeux en flammes,
    Il pénètre mon cœur, qui brûle et s’enflamme.
    Au jour sacré de la fête des mères,
    Tu es la plus belle de toute la terre.
    Mes yeux se mouillent sous mes paupières mi-closes,
    Sur ton cœur je dépose un bouquet de roses.
    Devant toi, à tes pieds la main sur le cœur maman : je t’aime,
    Bonne fête
    Bonne fête à toutes les mamans une rose sur le coeur


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  • UNE ROSE PLEURE


    UNE ROSE PLEURE

    Une rose pleure vraiment,
    Au mal de son cœur, au mal de son sang.
    Même sa vieillesse ne lui épargne rien,
    Son cœur est atteint par des vauriens.
    Ses blessures superficielles où profondes,
    Viennent de jeunes mains immondes,
    Seul l’amour et la tendresse,
    La réconforte par leurs caresses.
    Un rose pleure vraiment,
    Si on la mutile dans son présent.
    La douceur du soleil, un baume sur ses plaies,
    Pour cette petite fleur à l’heure de son couchant étoilé.
    Le velours de son âme, donne toute sa bonté,
    Le ciel s’y cache dans son humble beauté.
    C’est un astre à la lumière immortelle,
    Le parfum de son aura, la rend encore plus belle.
    Une rose pleure vraiment,
    La douleur coupe ses larmes,
    Faisant trembler cette royale âme
    Le ciel éponge le voile,
    Qui lui cache ses étoiles.
    Le firmament, aux battements de son cœur,
    Rayonne en pétales de bonheur.
    Une rose pleure vraiment

    Je ne fais que passer vous dire un grand merci pour tous vos messages
    Claude


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  •  

    CE NE SONT QUE DES ROSES


     J’AI RÊVE
      

       J’ai rêvé : la pluie tombait en pétales de roses,
       Le cœur des yeux était atteint d’amaurose,
       Mais ils voyaient d’étranges choses,
       Des cœurs blessés, ceux de toutes les roses.
      
    Dans ce matin de mai où résonne le temps,
       Se dessiné partout des traces de sang.

       Ce n’était que celui des roses.
      
       Je les voyais partout, battre à cœur perdus,
       Descendre une à une dans l’éternité des nues,
       Ecrivant ici et là, dans l’air ainsi gravé,
       Les plus beaux mots d’amour dans le ciel étoilé.
       Du palais de la terre ainsi immaculé,
       J’entendais des chants désespérés, ce sont toujours les plus beaux,
       Ils étaient immortels, c’était de vrais sanglots.

       Ce n’était que ceux des roses

       Chacune se noyait dans un sang inconnu,
       Dans un parfum d’amour, essence de leur vertu.
      
    C’était un océan où pleurait le silence,
       Chaque pétale en jouissait le cœur en transe,
       Sourde aux rumeurs de ce cœur, dans un dernier baiser,
       Sur la rive immense de leur vie, elle s’endormait en paix.

      Ce n’était que des roses

     J’ai rêvé

    Je reprend le silence et repos en restant au cœur des roses 
    Claude
     

    J


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  •  1ER MAI MUGUET
     
     
    Joli mois de mai,
     Jour bonheur du muguet.
     Doux astres aux yeux,
     Cœur triste devient joyeux.
     Nébuleuses de blancs,
     Pâleurs au teint charmant.
     Réveil de douces princesses,
     Diadème en fleurs de tendresse,
     Explosion parfumée,
     Des sous bois en muguet.
     Le soleil en bonheur,
     inonde tous les cœurs.
     Arrose de blanc et d’or,
     l’azur d’un immortel décor.

                                    Aube du jour, splendeur infinie,
                                       Réveille son horizon fleuri.
                                         Épanoui le beau muguet,
                                   Enivre le firmament de sa beauté.
                                   Une beauté, en extase et bonheur,
                                 Le poète, le souhaite à tous les cœurs.
                                     
                           Je continu la pause dans les fragances du muguet


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