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L'HOMME ET L' ANNIMAL
L’HOMME ET L’ANIMAL
L’homme et l’animal
L’homme et le cheval
L’un à asservir l’autre
S’aiment comme des apôtres
Corps à corps en liberté
Chacun se prévaut d’être domptéInstants vivants d’un intense partage
Chacun dans l’onde de son rivage
Transpire et frémit
La force de l’un, l’autre épanoui
Fait de l’homme et de l’animal
Les amants de Durandal
Ni l’un ni l’autre ne veut se tuer
Sur la pierre où le rocher
Il n’y aura pas d’instant fatal
L’homme devient animal
Le cheval devient homme
Une mutation en somme
Le cheval devient l’ignorant auguste
L’homme pas heureux de son sort qu’il trouve injuste
Pourtant chaque soir on voit dormir leurs fronts calmes
Chacun rêve d’être celui qui gagne la palme
Toile peinte par mes soins
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Commentaires
Bonjour Claude, ton tableau est digne des plus grands maîtres, bravo. Quand je vois l'être humain (car homme ou femme) sur sa monture, pour moi ils ne font plus qu'un. Cela se voit, se sent, rien que par la beauté de ces deux êtres. Les deux sont faits pour se compléter.
La cavalière aux longs cheveux faisant corps sur son cheval à grands galops ... que c'est beau n'est-ce-pas ? mais le cheval qui sert de monture pour emmener l'homme à la bataille, quelle horreur de voir alors le cheval tomber et mourir... stupides guerriers.
Bonne journée et gros bisous
Annick
coucou
je viens de rntrer du petit port (champ de courses nantais) oui! le 1 et 13 sont à la place mais ca ne va pas rapporter gros. le 9 bien joué pour toi. j'avais un tuyau pour la troisième à nantes , le 303 et il gagne à 6/1 j'ai touché mais j'ai perdu ensuite dans les deux suivantes. pas grave on se refera le prochain coup mdr
bonne soirée
la mienne sera foot (PSG contre APOEL NICOSIE)
mimi
BONJOUR cLAUDE
et oui! c'est à NANTES que se court le quinté. je vais sur le champ de course d'ici un quart d'heure. ce matin j'ai fait un couplé gagnant placé du 1 et du 13.
beau soleil en ce moment pas de pluie annoncé sur le champ de course. j'haibte à 5 mn.
je te souhaite une bonne journée
amitié
mimi
Bonjour Claude
j'espère que tu vas bien ....pas trop le courage de passer sur les blogs en se moment le moral n'y est pas mais je fais l'effort .....et puis cela fait du bien de venir relire tes poésies cela réchauffe le coeur.
douce journée Claude et gros bisous
Marlène
Je relis ce poème... j'aime bien la présence des chevaux
Douce journée CLAUDE
@micalement
timilo
le cheval un animal noble et je me rappelle tjs mon père qui disait jamais vous me ferez manger un steak de cheval
Bonjour Claude , nos pauvres animaux sont trop souvent négligés ou maltraités par nous les hommes , enfin pas tous ! . Un temps pourri au pays basque alors je calfeutre les fenêtres en urgence . Bonne fin de journée Claude , bises ,
Susan
bonsoir Claude
l'homme est un animal on le sait d'ailleurs on me dit bien souvent quel drôle d'animal tu fais mdr
aujourd'hui le temps s'est tenu , de belles éclaircies et surtout pas de pluie. hier c'était le déluge.
j'ai de la chance j'habite en hauteur et si je suis un jour inondé y en aura un paquet d'autres qui auront les pieds dans l'eau.
La loire a bien monté;
J'espère que tout baigne et que tu ne souffres pas trop, pour moi ca suit son cours.
je te souhaite une bonne fin de journée
amitié
mimi
aujourd'hui j'ai touché le couplé gagnant, pas une fortune mais ca récupère ce que je perds le dimanche mdr
TU NE SAIS DIRE QUE CELA
Mais réfléchie un peu
Si dire la vérité c'est être grognon, alors je suis grognon
BIZ
VL/ClaudeMadame la baronne de st mandé je n'aime pas les textes où celui qui les écrit n'à pas le courage de les signer de son nom propre seules les initiales sont lâcheté ....une bête peut signer avec ses pieds...j'aurai répondu savamment si le nom eut était lisible pas dans ce cas..dommage de perdre autant de temps de chercher sur le net .
VL/Claude« L’homme est un animal, dit-on, mais ce n’est pas une bête ». La première de ces deux affirmations, qui reconnaît l’animalité de l’espèce humaine, est à comprendre sur un plan biologique. La précision selon laquelle l’homme n’est pas une bête n’est en revanche pas biologique mais, selon les cas, morale, religieuse ou philosophique. Chacun de ces deux points demande toutefois à être étudié de plus près.
Dire que l’homme est un animal, c’est pour l’homme se rappeler qu’il a un corps, des instincts et plus généralement un “fonctionnement” biologique similaires à ceux d’autres animaux, et plus particulièrement à ceux de ses plus proches “cousins” dans l’arbre de l’évolution, comme les chimpanzés ou les bonobos, avec lesquels nous partageons plus de 99% de notre ADN. Ce rappel de notre animalité commune avec les bêtes peut, selon les cas, nous faire voir les hommes comme des bêtes (à travers les catégories de “sauvagerie” ou la “bestialité”, lorsqu’un homme semble se comporter instinctivement par exemple) ou, plus subtilement, nous inciter à “débusquer” derrière des comportements humains apparemment complexes ou raffinés de simples manifestations instinctives ; ainsi pour Schopenhauer le sentiment amoureux n’est-il rien d’autre que la forme que prend chez l’homme l’instinct sexuel de l’animal qu’il est.
L’une des questions que pose cette animalité de l’être humain est celle de savoir en quoi consiste ce qu’on appelle, parfois sans précision suffisante, « la nature humaine » : est-elle le “fond animal” de l’être humain (ses instincts par exemple), ou au contraire ce qui distingue et éloigne l’homme des autres animaux, autrement dit des bêtes ? C’est en ce deuxième sens qu’on a pu dire, par exemple, que la nature de l’homme, c’est la culture, c’est-à-dire précisément ce que ne possèdent apparemment pas les bêtes (bien qu’il semble que certaines espèces de singe soient capables de transmettre des savoir-faire non instinctifs, y compris sans intervention humaine, ce qui relève bien d’une certaine forme de “culture”).
Dire que l’homme n’est pas une bête, c’est justement insister non seulement sur les spécificités de l’être humain à l’égard des autres animaux, mais encore et plus précisément sur sa supériorité. Cette supériorité est censée consister en une dignité qui conférerait à l’homme des droits sur les bêtes, dont la Bible donne un bon exemple : « Dieu bénit [l’homme et la femme] et leur dit : “Soyez féconds, multipliez, emplissez la terre et soumettez-la ; dominez sur les poissons de la mer, les oiseaux du ciel et tous les animaux qui rampent sur la terre”. » (Genèse, I, 28). L’affirmation de cette dignité humaine sert également de justification morale aux expériences scientifiques ou médicales faisant souffrir ou mourir des bêtes, puisque la vie d’un homme est supposée valoir plus (infiniment plus ?) que la vie d’une bête. Mais en quoi consiste exactement cette dignité supérieure de l’être humain, et quels droits lui confère-t-elle ? Car c’est énoncer un lieu commun que de dire que l’humanité est capable du meilleur comme du pire. Ne faut-il alors voir dans les justifications morales ou religieuses de notre domination sur les bêtes que des prétextes cherchant à masquer un cynique “droit du plus fort” ou une forme évoluée de l’instinct (humain en l’occurrence) de survie ? A tout le moins devons-nous poser des limites à nos droits sur les autres animaux, comme ce que le code pénal nomme « actes de cruauté » infligés à des bêtes.
Mais il existe d’autres exemples de cette domination qui renvoient parfois tragiquement l’homme à ses responsabilités, comme l’extermination, volontaire ou non, d’un nombre croissant d’espèces par la chasse, la pêche ou la pollution. En outre, “l’utilisation” des bêtes pour le plaisir des hommes, comme dans le cirque ou la corrida, pose la question de la finalité de notre domination sur les bêtes : la distraction n’a sans doute pas ici la même valeur que le progrès de la médecine. L’empathie qui nous fait nous représenter les souffrances que les hommes infligent aux autres animaux, empathie précisément rendue possible par le fait que l’homme est lui-même un animal, vient ici s’opposer à notre droit de dominer et d’utiliser les bêtes comme des objets, qui eux ne souffrent pas de l’utilisation que nous en faisons. Il nous faut toutefois reconnaître que cette empathie est elle-même extrêmement variable, selon qu’elle s’applique par exemple à un cheval ou un dauphin d’une part, à un rat ou un crocodile d’autre part (pour ne rien dire d’une araignée ou d’un frelon).
La supposée dignité supérieure de l’être humain ne lui conférerait-elle pas autant voire plus de devoirs que de droits vis-à-vis des bêtes ?M.A.
Bonjour Claude
c'est avec la pluie que je passe te faire un coucou .....cette nuit s'était une vrai tempête une forte pluie et le vent contre les volets impossible de dormir ....alors c'est un peu au radar que je fonctionne (rire).....d'ailleurs nous étions en alerte orange avec plusieurs département.....je plains beaucoup ce qui ont déjà subi des dégâts.....j'espère que chez toi le temps est plus calme....et c'est en relisant tes poèmes que le calme revient ça tu sais que c'est mon plaisir du moment la poésie.
je vais te souhaiter une merveilleuse journée
je t'embrasse
amitié Marlène
Certaines bêtises de l'homme font parfois croire qu'il essaye de remonter son échelle généalogique jusqu'à ses origines primates!
bonsoir mon petit poète ,
Très beau poème , sublime je dirais même tout comme les étoiles dans la nuit cet un animal magnifique le cheval c'est un mélange de force et de fragilité à la fois même si la grandeur de cet être me fait des fois un peu peur sa gentillesse me remplie de bonheur !!!! merci pour ce partage gros bisousss monette
"Le cheval est la projection des rêves que l'homme se fait de lui-même :
fort, puissant, beau, magnifique.
Il nous offre la possibilité d'échapper à la monotonie de notre condition"
Beau texte et bravo pour la toile.
Je t'embrasse.
De moi...à toi.
Marielle.
L'Homme reste instinctivement bien plus bestial que le plus puissant des animaux... Ton poème laisse bien transparaître ce côté "rapport de force"... Et ton tableau est de toute beauté !
Merci, Cher Claude, pour cette page si agréablement illustrée.
Bisous,
Cathy.
Bonjour mon Ami Me voilà de retour parmi vous. Sans ordi dur dur
tout d'abord il faut que je te dise que ta bannière est vraiment sublime. Je ne trouve pas de mot assez puissants pour ton poème et surtout ta toile.
Le cheval et l'homme
l'homme et le cheval
inséparables depuis leur création
. Bisous tout plein
bonjour mon cher Claude , heureux de te retrouver et
de lire tes beaux poèmes et réflexions ... j'aime les chevaux !
merci pour tes coms pendant nos belles vacances a+
belle journée merci .. amicalement
Ces relations étranges parfois entre l'animal et l'homme ! Joli tableau, bravo ! Bises Claude et bonne journée
Bonjour Poète Lagardère ! La blessure est encore fraîche de la perte de notre cheval alors difficile de te lire mais bravo tu sais toucher les coeurs ! je t'embrasse avec des bisous d'amitié!
bonjour Claude
vent et pluie se sont invité ce lundi, on avait perdu l'habitude. et oui! le 4 a déconné hier moi je n'ai rien alors on recommencera. j'espère qu'il s'est relevé et ne terminera pas dans les lasagnes mdr
je te souhaite une bonne journée
je suis content du match nul de rennes à nantes hier après midi.
à plus l'ami
mimi
Bonjour Claude
un merveilleux poème avec le cheval ....et comme tout les animaux il leur manque la parole ...si cela était ils auraient beaucoup de choses à dire ....tout les animaux bien sur j'adore le cheval c'est un animal très élégant et fier et je crois que c'est le plus proche de l'homme.....merci Claude pour ce beau poème qui encore nous comble
j'espère que tu as passé un bon week-end et que ce début de semaine sera pour toi tout aussi beau et rempli de douceur
doux bisous
Marlène
Pour être une bête il faut l'innocence et l'homme n'est pas prêt de l'avoir
bonne journée
bisous
marie
L'homme et l'animal est le beau conte de la vie, mais avec le modernisme, on peut dire que l'homme est l'animal
amicalement
Claude
L' on dit que le cheval est le meilleur compagnon de l' homme ! . Voilà une oeuvre peinte avec ton coeur d'une grande beauté , merci Claude et te souhaite un bon début de semaine malgré le changement de temps , bises ,
Susan
On se pense supérieur dans la création mais vu nos comportements on ne vaut guère mieux que le plus vil des animaux...
J'adore les chevaux et leurs cousins les ânes
Joli tableau
Bon et doux Lundi CLAUDE
@micalement
timilo
«Personne ne nie que les bêtes aient une âme, douée de vie, de mouvement et de sensation, voire d'imagination et de mémoire:la querelle porte sur la faculté de l'âme des bêtes à accéder aux plus hautes fonctions de la raison humaine(ce que nous appelons la pensée conceptuelle);l'enjeu de cette question étant de savoir si la supériorité de la nature humaine l'égale aux dieux,en lui assurant royauté sur le monde et immortalité;en 1580 encore, l'«Apologie de Raymond Sebond» de Montaigne (Essais II, 12) reprend ces questions:l'homme est-il le chef-d'œuvre de la nature, le maître du monde et l'égal des dieux?N'y a-t-il pas vanité à rabaisser la nature animale pour mieux élever la nature humaine?Les stoïciens ou Plutarque: l'opposition s'en tenait là.»ta peinture est sublime ClaudeSuperbe billet - ta toile est une pure merveille et le poème est idem !
J'adore les chevaux, j'ai fait beaucoup de cheval dans ma jeunesse ... il y a bien lgtps maintenant (sourire)
Bonne semaine Claude
Plein de gros bisous bleus
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Tes lignes sont toujours pleines de sagesse d'émoi j'aime !!! je t'embrasse fort bon vendredi doux WE !!!