Mes pensées s'évadent au loin par la fenêtre
Elles vont là où mon âme voudrait être
Dans ce ciel où le bleu de la nuit règne sans fin
En éclairant les étoiles des astres divins
Je vois cette clarté qui dans le ciel déferle
Dans une vague immense au blanc nacré de perles
Vague ondulante et ouatée à la douceur d'un voile
Caressant au passage le chemin des étoiles
Je sens venir à moi un ineffable amour
Venu de cet océan, celui qui porte les rêves toujours
Ce rêve qui chaque jour part depuis la terre
Vers ce géant de liberté et son infini de lumière
Cette lumière qui charme l'esprit des yeux
Par ce froid univers au silence mystérieux
V L
Poète et philosophe ne font qu'un pour faire chanter les pensées, je ne suis ni l'un ni l'autre, juste un amoureux de la vie, de la paix, de l'harmonie, pour le reste tout comme toi je laisse mon cœur parler
amicalement
Claude