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Etoiles dans le ciel
Lumières de l’éternel
Guident les rois mages
Au divin enfant sage
Là bas vers la chaumière
Veille le père et la mère
Entre le bœuf et l’âne
Le souffle de la faune
Dans tous les cœurs résonne
Réchauffe le vénéré
Petit jésus l’enfant né
Du ciel descend la lumière
Etoiles de paix sur la terre
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ROSE DE DECEMBRE
Rose de décembre,
Envoutante pâleur de cendres,
Telle une antique dryade vénérée,
Ton parfum un if bien protégé,
Fait frémir le poète devant toi à rêver.
Toi déesse dont l’amour rend heureux,
Je ne suis pas Endymion seulement envieux,
Du cœur de ton royaume, une faune à mes yeux.
Chaque jour il me faut expier les rêves de mes nuits,
Les étincelles de mon cœur toujours vers toi s’enfuient,
Ton océan de lumière, la source de mon sang,
Désaltère mon âme qui pleure sous le vent.
Le palais de mon cœur prend ta couleur d’albâtre,
Se consume lentement chaque jour sur ton âtre.
Le temps brûle en étincelles de velours,
Il brûlera toujours par les flammes de notre amour.
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ROSE DE NOVEMBRE
Rose de novembre,
Les volants de ta robe en méandres,
Flottent au vent des courants d’amour,
Chacune de tes couleurs un satin de velours,
Douces lumières sur le monde,
Chantent aux cœurs que tu inondes,
De ton parfum éthéré sur la mer des tropiques,
Tes fragrances dorées un vrai soporifique.
Vibre la cantharide de ton azur phosphorescent,
La où le soleil vient se noyer dans ton sang.
Tes jours sacrés moissonnent les aurores,
De toutes tes couleurs immenses et sonores.
Ta liberté devient lumière ivre de ton firmament,
Ton esprit devient sidéral par son rayonnement.
Rose de novembre tu es une gerbe dans les cieux,
Ton âme est grande, elle brode mes yeux.
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On ne maitrise pas la vie,
Encore moins celle d'une rose.
Le temps de sa vie l'a meurtrie,
Pour la soigner il me faut faire la pause.
A plus tard chers amies(s)
En attendant je vous offre une rose
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LA COLLINE DU GOLGOTHA
Non ce n’est pas la colline du Golgotha,
Les heures inoubliées y guident mes pas.
Plus prés du ciel le cœur quitte la terre,
Il bat avec la force de sa lumière.
Dans le ciel où s’endorment chaque soir mes pensées
L’océan du temps joue le silence étoilé,
Cloué d’innombrables voiles,
Scintillant des croix d’étoiles,
Un ciel serein une douce vision,
L’infini en cache son horizon.
Plus de malheurs, plus de larmes,
Sur du velours voyagent les âmes.
La sérénité de la source intime,
Triomphe l’amour qui la rend sublime.
C’est le voyage de lumière,
Celui qui se vit au-delà de la terre
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