-
JE MARCHE SUR L'OCEAN
JE MARCHE SUR L’OCEAN
Je marche sur l’océan
Il se meurt de soif naturellement
Sous mes pas la profondeur
Elle crie en silence son déshonneur
Je n’entend plus le chant des sirènes
Les vagues cachent leurs larmes avec peine
Leurs chants désespérés à l’horizon des sanglots
Malgré tous leurs efforts ne peuvent les rendre beaux
Elles sont, elles ne sont plus, elles seront peut être
Dans leurs esprits toujours, au lointain à renaître
Implacables humains qui jettent toutes les notes
Pèle mêle sur toutes les gammes et toujours la faute
Sans voir le regard mourant de l’éther
Qui se reflète jusqu’au ciel en regardant la mer
Puisse l’océan sous le soleil si beau
Retrouver la couleur de son toit qui flamboie d’oripeaux
-
Commentaires
Bonjour Claude
ce n'est pas sous le soleil que je passe te faire un coucou
lui aussi joue à cache cache peut-être la pluie comme nous
l'annonce la météo ....j'espère que tu va bien
oduce journée Claude
bisous
Marlène
Il serait préférable que l'océan ne perdre pas sa couleur bleu profond que nous tient tant à coeur...Bises et belle journée
Bonjour Claude,
Des mots qui fleurissent cet océan dans toute sa splendeur. Une belle émotion coule dant tes vers tout en délicatesse. Les flots de l'océan deviennent lourds lorsque l'homme ne respecte pas ce berceau de vie qui assure sa survie et son développement. Le sait-il vraiment ? Préserver cet endroit merveilleux n'est pas qu'un caprice d'une douce rêveuse amoureuse de la mer mais c'est un souhait que je formule quand je vois le crier l'âme en peine. Il faudrait que la saveur parfumée de ces eaux salées transparentes continuent de nous bercer avec une force infinie d'une grande pureté. J'espère que mon voeu sera exaucé Claude. Nous avons un temps ensoleillé, l'été indien ou presque. Aujourd'hui je vais au bord de la mer avec ma petite chienne Bella afin de marcher le long de la plage de sable blanc. A cette époque de l'année il y a moins de monde et tant mieux car j'aime ma tranquillité.
Gros bisous et douce journée. Corinne.
Si ces quelques vers suffisaient pour que l'Homme réalise enfin les dégâts et que nous entendions encore le chant des sirènes !
Belle soirée à toi
Bonjour Cher Claude,
Tu as su apprivoiser les mots pour transformer en un écrit on ne peut plus agréable, ce que t'inspirent les méfaits de l'Homme sur l'océan... Comment peut-on souiller à ce point l'immensité et les abysses d'un si bel "univers marin"...
Que tu ne puisses supporter qu'un aussi beau bleu soit dénaturé est tout à fait compréhensible et je m'associe à ta pensée.
Je t'embrasse bien amicalement,
Cathy.
Cher Claude,
L'océan sous ta plume a des accords sensibles et profondément émouvants. L'océan, territoire liquide, reflète nos émotions, le bonheur et la tristesse, l'abandon et le courage, l'ambivalence de la vie qui s'écoule dans l'écrin du sablier. L'océan est une force colossale, une entité magique à part entière qui exprime sa puissance et sa mélancolie à travers le coeur du poète. Tu nous offres un merveilleux poème, merci cher ami. J'espère que tu vas pour le mieux, je pense à toi tu le sais et je t'embrasse. Merci pour ton très gentil message, gros bisous.
Cendrine
Des mots très forts, très beaux aussi, un grand poème qui parle de la mer ... souillée aussi par nous, les hommes ... Quand s'arrêtera le carnage ?
Merci et très bon début de semaine
Gros bisous
Bonjour
L'océan source de vie se meurt lentement
Les Hommes de cette Terre
le prennent naturellement
pour une une grande poubelle
Y déversant chaque jour des tas d'immondices,
et ceci sans regret,
Un jour, ils comprendront le mal qu'ils auront fait,
mais hélas se sera bien trop tard.
et ils le regretteront à tout jamais
Paroles de Fée
Bisous de l'une d'elle
Bonjour Chevalier ! toujours de belles lignes merci ! je file à l'hosto et je n'en ai pas envie mais santé oblige !!! bisous !
"Maintenant que mon temps décroît comme un flambeau,
Que mes tâches sont terminées ;
Maintenant que voici que je touche au tombeau
Par les deuils et par les années,
Et qu'au fond de ce ciel que mon essor rêva,
Je vois fuir, vers l'ombre entraînées,
Comme le tourbillon du passé qui s'en va,
Tant de belles heures sonnées ;
Maintenant que je dis : - Un jour, nous triomphons ;
Le lendemain, tout est mensonge ! -
Je suis triste, et je marche au bord des flots profonds,
Courbé comme celui qui songe."Je marche sue l'océan pour venir te rejoindre............
B onjour cher Claude
me voici de retour .....j'espère que tu as passé un bon week-end .....et je retrouve avec plaisir tes beaux poèmes pauvre océan oui que sera tout cela dans quelques années.....tes mots sont toujjours très touchant.
douce journée Claude
gros bisous
Marlène
Contre vents et marées, rien n'empêche les amants de se retrouver, ils peuvent les punir et les blâmer, dans le pire de la nuit leur esprit arrivera à communier
amicalement
Claude
Tu te prends pour Jésus mdr !
Je plaisante, il est beau ce poème et à quelque chose d'émouvant
Merci cher Chevalier à la rose bleue
bonne semaine et plein de gros bisous
Ajouter un commentaire
l'Océan....
sans LUI
est ce que sur la Terre
il y aurait la VIE
pertinente est la question,
n'est-ce pas
mais son importance est réelle.
Sans l'eau, aucun de vous
Hommes de cette planère
ne serait ici
regardez bien autour deVous
La lune son unique satellite
n'est que poussière
alors je vous en prie
gardez précieusement ce trésor
que vous avez
et qui porte un nom sublime
d'Océan
bisous de Fée