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A TOUTES ET TOUS LE BONHEUR EN FLEURS
1ER MAI
BLANC MUGUET
OR BLANC IMMACULÉ
DOUX, SOYEUX, CLOCHETTES SACRÉES
PARFUMS SÉRAPHIQUES POUR CŒURS CHAVIRÉS
FLOCONS HÉRALDIQUES PORTEURS D'AMOURS POUR L’ÉTERNITÉMERCI A TOUS
DE VOS MESSAGES QUI TOUCHENT MON COEUR
Ma situation ne me permet pas de revenir sur les blogs
Claude
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Commentaires
53lambinettedestmandeDimanche 3 Juillet 2016 à 18:05RépondreLes pourpres hortensias timides en leur coin
écoutaient les clochettes à l'entrée du jardin
Les galants gardénias dans leurs suaves pourpoints
entendaient le doux cri des arbres enfantins
Les charmants géraniums agiles et mutins
se lavaient les cheveux tout autour du bassin
Les violettes émues en robe de satin
tendrement respiraient le bon air du matin
Une gente fillette avec un sécateur
en fit tout un bouquet - la fin de ce bonheur
"Battre la campagne"
Raymond Queneau
Bonjour Cher Claude,
malgré mes papotages avec Annie nous pensons beaucoup
à toi...
je t'embrasse très fort...je t'écris.
très bientôt.
Mamie marielle.
La Mémoire
François COPPÉE
Recueil : "L'Exilée"
Souvent, lorsque la main sur les yeux je médite,
Elle m’apparaît, svelte et la tête petite,
Avec ses blonds cheveux coupés courts sur le front.
Trouverai-je jamais des mots qui la peindront,
La chère vision que malgré moi j’ai fuie ?
Qu’est auprès de son teint la rose après la pluie ?
Peut-on comparer même au chant du bengali
Son exotique accent, si clair et si joli ?
Est-il une grenade entr’ouverte qui rende
L’incarnat de sa bouche adorablement grande ?
Oui, les astres sont purs, mais aucun, dans les cieux,
Aucun n’est éclatant et pur comme ses yeux ;
Et l’antilope errant sous le taillis humide
N’a pas ce long regard lumineux et timide.
Ah ! devant tant de grâce et de charme innocent,
Le poëte qui veut décrire est impuissant,
Mais l’amant peut du moins s’écrier : «Sois bénie,
Ô faculté sublime à l’égal du génie,
Mémoire, qui me rends son sourire et sa voix,
Et qui fais qu’exilé loin d’elle je la vois !»
il est où le soleil....il est où?????
à GAP j'espère pour toi
à Paris, il a disparu
je ne vois qu'un vieux ciel tout gris
remarque cela me convient
je n'aime plus le soleil
mais là c'est tout de même un peu triste...
gros bisous
Danielle
: La fleur des poètes
Poète : Antoine de Latour (1808-1881)
Recueil : Loin du foyer (1835).
Chacun, comme un trésor, garde au fond de son ame
Le parfum préféré de quelque chère fleur,
Et dans tous nos pensers, sur le plus sombre drame
Ce souvenir lointain épanche sa fraîcheur.
Au lilas, confident de sa longue douleur,
Valmore de son chant suspend l'aile de flamme,
Et sur la véronique, image de son cœur,
Tastu laisse tomber le soupir de la femme.
Le chaste amant d'Elvire au pied de l'amandier
S'arrête pour cueillir une branche, et Nodier
D'une grâce rêveuse a doué l'anémone ;
Ah ! si parmi ces fleurs tu t'élevais un jour,
Blanc jasmin qui jadis, par un beau soir d'automne,
Reçus les larmes d'or de mon premier amour !
Antoine de Latour.
Je méditais; soudain le jardin se révèle
Et frappe d'un seul jet mon ardente prunelle.
Je le regarde avec un plaisir éclaté;
Rire, fraîcheur, candeur, idylle de l'été!
Tout m'émeut, tout me plaît, une extase me noie,
J'avance et je m'arrête; il semble que la joie
Etait sur cet arbuste et saute dans mon coeur!
Je suis pleine d'élan, d'amour, de bonne odeur,
Et l'azur à mon corps mêle si bien sa trame
Qu'il semble brusquement, à mon regard surpris,
Que ce n'est pas ce pré, mais mon oeil qui fleurit
Et que, si je voulais, sous ma paupière close
Je pourrais voir encor le soleil et la rose.
"Les Eblouissements"
Anna de Noailles
(1876-193 Après trois ans)
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Lundi 13 Juin 2016 à 14:19
Merci baronne de st Mandé
Je vois chaque jour le soleil et les roses
Même dans l'azur de mes paupières mi closes
C'est un instant de vie, c'est un instant de joie
Mon cœur cesse de battre et un instant se noie
De ce bonheur furtif qui comble mon âme
Inondée de soleil, par ses rayons de flammes
Bizzzzz
Claude
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Un beau texte pour reprendre et garder l'espoir....
à toi cher Claude :
,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,
"Âgé de cent-mille ans, j'aurais encore la force
De t'attendre, o demain pressenti par l'espoir.
Le temps, vieillard souffrant de multiples entorses,
Peut gémir : neuf est le matin, neuf est le soir.
Mais depuis trop de mois nous vivons à la veille,
Nous veillons, nous gardons la lumière et le feu,
Nous parlons à voix basse et nous tendons l'oreille
A maint bruit vite éteint et perdu comme au jeu.
Or, du fond de la nuit, nous témoignons encore
De la splendeur du jour et de tous ses présents.
Si nous ne dormons pas c'est pour guetter l'aurore
Qui prouvera qu'enfin nous vivons au présent."
Robert Desnos (1900-1945), État de veille, 1942
Je t'embrasse très fort....de moi
à toi.
Mamie marielle.
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Dimanche 12 Juin 2016 à 20:53
Merci Marielle
Du fond de la nuit je regarde l'aurore
Celle qui porte l'espoir qui m'habite encore
Quand le soleil réchauffera les roses
Mon âme heureuse sous les paupières mi closes
vers toi s'envolera dans ton jardin en Berry
Pour te porter le soleil qui éclaire nos vies
Le frais matin dans sa clarté première
Dans ton jardin céleste sera douce lumière
Tes beaux yeux seront astres, me voilà charmé
Dans les siécles des siécles pour l'éternité
Je t'embrasse
A toi..de moi
Claude
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Avec la permission de mon amie Patricia auteur sous le pseudo :"Imparfaitlibre" je partage avec toi ce poème.
Quand l'avenir n'est plus qu'une ombre misérable
Etouffant les rayons d'un soleil qui s'enfuit,
Alors souffre le jour comme pleure la nuit,
Et succombe le coeur que le chagrin accable.
Perdu dans ce chaos, tu fouilles la mémoire
D'un ciel libérateur où brillait ta raison!
Puis la spirale entraine au fond de sa prison
Le présent, le futur, auxquels tu ne veux croire.
Tu me dis"douce amie, à quoi sert l'existence,
Si je ne peux écrire, un mot, un vers, un point !
Hélas, les jeux sont faits, l'abandon a rejoint,
Le plaisir d'un esprit que rien ne récompense".
Sans eau, notre nature offre un cadre morose,
Où poussent le néant, la peine et la douleur,
La poésie est l'eau nécessaire à la fleur,
Enivrant ta pensée aux parfums d'une Rose.
Aujourd'hui tu décris en noir ta longue errance,
Le blanc viendra demain jouer un concerto,
Alors comme l'artiste effleure le piano,
Tu feras d'un doux son renaître l'espérance...
auteur Imparfaitlibre (Patricia Dominguez)
Un monde en poésie
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Jeudi 9 Juin 2016 à 13:27
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coucou mon ami le chevalier ....
Mon cher Claude
me revoilà , mon cher ami ....J'ai été bien absente mais la vie fait que parfois
tout se bouscule....entre ma Maman qui prend de l'âge et comme maintenant
je suis à la retraite , je passe beaucoup de temps avec elle ....Et lorsque je suis
chez elle , pas d'internet !!!!! et une amie qui combat cette foutue maladie !!!! , je
suis souvent près d'elle .....Il me faudrait des journées à rallonge.....ce serait bien....
Mais , je ne t'oublie pas , mon ami , souvent je pense à toi , à ta gentillesse ...
Je souhaiterai tant te soulager de cette douleur , de cette maladie ....Mon ami , tu es le courage.
Je pense bien fort à vous deux .....
gros , gros bisous
mamietitine
bonjour mon cher Claude , je passe vous souhaiter une beau weekend et +++
prenez soin de vous deux et ... amicalement on pense bien à vous A+++
Journée d'une rose
"Toi qui dans l'aube naissante
Encore vêtue de cristaux de rosée
Dans les lueurs caressantes
Déroule ta corolle encore fripée.
Offrir ta coupole dans l'azur de juin
Dans la brise légère gracieusement danser
Floraison sublime est ton unique destin
D'une douce fragrance ton velours encenser .
Eblouissante dans les rayons du soleil
Epanouie et enivrante la vie tu évalues
Magnificence ,dans mon jardin tu es merveille
Et dans mon coeur toujours tu seras l'élue.
Couper ta tige pour t'admirer dans l'uniflore
Ton image à mon regard pour des heures m'offrir
Vivre avec toi ton temps éphémère que je déplore
Et dans la tristesse du soir te voir mourir ."
Le soleil s’est éteint comme une pâle bougie
Et la nuit, Vestale au cœur chaste et ténébreux
A chassé le jour, de ses charmes amoureux,
Qui chantait sous son noir balcon mille élégies.
La lune, pareille à ces reines langoureuses
Dont les fers subjuguaient les antiques sultans,
S’est allongée, lascive, sur son nuage envoûtant
Répandant le parfum de ses fleurs dangereuses.
Le ciel, le vaste ciel, bénit nos amours !
Viens, viens avec moi au pays que je rêve !
À l’éden enchanté, lumineux comme un glaive
Où seul le cœur soupire, et où l’esprit est sourd !
Entends-tu le violon pleurer dans les collines,
Et de son chant sacré parfumer l’air du soir ?
Vois-tu les nymphes, dans les lacs profonds et noirs,
Reposer doucement leurs nudités cristallines ?
Écoute cette musique qui enivre le cœur !
Son philtre nous guérit et nous empoisonne,
C’est un phare qui guide les voiles qui s’abandonnent
Aux caresses farouches de la mer en fureur ;
C’est un havre bénit par l’océan des cieux
Que les anges bercent comme des hirondelles,
Dont les lumières blanchissent la voûte éternelle
De l’azur immense et toujours silencieux.
Viens, ma chère déesse ! Ce monde est un gouffre,
Où tout n’est que douleur, où tout n’est que tourment
Suivons ensemble ce son plein d’enchantement
Qui mène au Royaume de Dieu, où nul ne souffre.
Partons ! Mon cœur languit de ce pays natal !
Ce monde est trop grand pour notre solitude,
Ne songeons qu’à l’amour et à la quiétude
Et à la terre rose au doux front matinal !
(Amneris)
Comme un jour un peu fou !!
Comme un jour un peu fou, délivrant ses couleurs,
Où les roses transies dansent la valse des heures,
Dépliant en offrandes les pétales de leurs coeurs,
Au jardin provençal l'Amour gagne son bonheur.
Nul être parmi nous ne pourrait deviner,
Ce qui se nomme plaisir, si tendre et parfumé,
Sans avoir vu la terre et toutes ses beautés,
Que Dame Nature peint dans un long soir d'été.
De ses nuances si belles, cultivées en partage,
Au chaud soleil naissent les mimosas sauvages,
Léchés parfois de l'ombre d'une maison sans visage,
Et sous les doigts du peintre, le plus beau paysage.
La saison nous rappelle qu'il faut toujours croire,
A l'odeur de la vie, à l'esquisse d'un espoir,
Qu'une petite fleur peut faire vivre un regard,
Et offrir à l'abeille son plus précieux nectar.
Caroll RIQUET
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Jeudi 26 Mai 2016 à 11:53
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Une petite visite pour te souhaiter une bonne fin de semaine et en espérant que tu tiennes le coup ! . Merci Claude pour ton si beau bouquet . J'en ai poussant dans une jardinière dans la coure ! . Une pensée de Biarritz , escapade
La branche de l'amandier
De l'amandier tige fleurie,
Symbole, hélas! de la beauté,
Comme toi, la fleur de la vie
Fleurit et tombe avant l'été.
Qu'on la néglige ou qu'on la cueille,
De nos fronts, des mains de l'Amour,
Elle s'échappe feuille à feuille,
Comme nos plaisirs jour à jour!
Savourons ces courtes délices;
Disputons-les même au zéphyr,
Epuisons les riants calices
De ces parfums qui vont mourir.
Souvent la beauté fugitive
Ressemble à la fleur du matin,
Qui, du front glacé du convive,
Tombe avant l'heure du festin.
Un jour tombe, un autre se lève;
Le printemps va s'évanouir;
Chaque fleur que le vent enlève
Nous dit : Hâtez-vous de jouir.
Et, puisqu'il faut qu'elles périssent,
Qu'elles périssent sans retour!
Que ces roses ne se flétrissent
Que sous les lèvres de l'amour!
Alphonse de LAMARTINE (1790-1869)
Les Dernières Paroles Du Poète – La Guerre Sainte , DAUMAL René –
D’un fruit qu’on laisse pourrir à terre, il peut encore sortir un nouvel arbre. De cet arbre, des fruits nouveaux par centaines. Mais si le poème est un fruit, le poète n’est pas un arbre. Il vous demande de prendre ses paroles et de les manger sur-le-champ. Car il ne peut, à lui tout seul, produire son fruit. Il faut être deux pour faire un poème. Celui qui parle est le père, celui qui écoute est la mère, le poème est leur enfant. Le poème qui n’est pas écouté est une semence perdue. Ou encore : celui qui parle est la mère, le poème est l’œuf et celui qui écoute est fécondateur de l’œuf. Le poème qui n’est pas écouté devient un œuf pourri. »
René Daumal (1908-1944) fonda la revue Le Grand Jeu. En marge du surréalisme et de la pataphysique, son œuvre développe une voix très singulière et un certain goût de l’ésotérisme, comme en témoigne son roman Le Mont analogue. Les deux poèmes en prose Les Dernières Paroles du poète et La Guerre sainte sont sans doute ses textes les plus célèbres
Une sorte de verve étrange, point muette,
Point sourde, éclate et fait du printemps un poëte;
Tout parle et tout écoute et tout aime à la fois;
Et l'antre est une bouche et la source une voix;
L'oiseau regarde ému l'oiselle intimidée,
Et dit: Si je faisais un nid? c'est une idée!
Comme rêve un songeur le front sur l'oreiller,
La nature se sent en train de travailler,
Bégaie un idéal dans ses noirs dialogues,
Fait des strophes qui sont les chênes, des églogues
Qui sont les amandiers et les lilas en fleur,
Et se laisse railler par le merle siffleur;
Il lui vient à l'esprit des nouveautés superbes;
Elle mêle la folle avoine aux grandes herbes;
Son poëme est la plaine où paissent les troupeaux;
Savante, elle n'a pas de trêve et de repos
Jusqu'à ce qu'elle accouple et combine et confonde
L'encens et le poison dans la sève profonde;
De la nuit monstrueuse elle tire le jour;
Souvent avec la haine elle fait de l'amour;
Elle a la fièvre et crée, ainsi qu'un sombre artiste;
Tout ce que la broussaille a d'hostile et de triste,
Le buisson hérissé, le steppe, le maquis,
Se condense, ô mystère, en un chef-d'oeuvre exquis
Que l'épine complète et que le ciel arrose;
Et l'inspiration des ronces, c'est la rose.
Victor Hugo
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
J'ai fait l'amour, j'ai fait la manche
J'attendais d'être heureux
J'ai fait des chansons, j'ai fait des enfants
J'ai fait au mieux.
J'ai fait la gueule, j'ai fait semblant
On fait comme on peut
J'ai fait le con, c'est vrai ; j'ai fait la fête, ouais !
Je croyais être heureux
Mais, y a tous ces soirs sans potes
Quand personne sonne et ne vient
C'est dimanche soir, dans la flotte
Comme un con dans son bain
Essayant de le noyer, mais il flotte
Ce putain de chagrin
Alors, je me chante mes plus belles notes
Et ça ira mieux demain
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
Il est là le bonheur, il est là !
Il est là !
Il est où le bonheur, il est là !
Il est là !
J'ai fait la cour, j'ai fait mon cirque
J'attendais d'être heureux
J'ai fait le clown, c'est vrai et j'ai rien fait
Mais ça ne va pas mieux
J'ai fait du bien, j'ai fait des fautes
On fait comme on peut
J'ai fait des folies, j'ai pris des fous rires, ouais
Je croyais être heureux
Mais, y a tous ces soirs de Noël, où l'on sourit poliment
Pour protéger de la vie cruelle
Tous ces rires d'enfants
Et ces chaises vides qui nous rappellent
Ce que la vie nous prend
Alors, je me chante mes notes les plus belles
C'était mieux avant
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
Il est là le bonheur, il est là !
Il est là !
Il est où le bonheur, il est là !
Il est là !
C'est une bougie, le bonheur
Ris pas trop fort d'ailleurs
Tu risques de l'éteindre
On l'veut le bonheur, on l'veut, ouais !
Tout le monde veut l'atteindre
Mais il fait pas de bruit, le bonheur, non, il fait pas de bruit
Non, il n'en fait pas
C'est con le bonheur, ouais, car c'est souvent après qu'on sait qu'il était là
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
Il est là le bonheur, il est là !
Il est là !
Il est où le bonheur, il est là !
Il est là !
Mais, il est où le bonheur ?
Il est où le bonheur ?
Il est où ?
Il est où ?
Mais, il est où le bonheur ?
Mais il est là !
Le bonheur, il est là, il est là
Et il est là !
Le bonheur, il est là, il est là
Christophe Maé
UN LUNDI de PENTECOTE...
"Lundi 2 juin 1941
C'est durant la longue ascension
Vers la chapelle Saint Michel de Cousson,
Près de Dignes, un lundi de la Pentecôte,
Que le destin allait placer côte à côte
Candide et Violette
Tout près de la source où les gorges se désaltéraient
Apparut à ses yeux la muse de ses pensées.
Les regards s'échangèrent,
Les mains se croisèrent,
Le voeu de s'unir dans l'année
Fut promptement formulé.
La guerre en décida autrement
Les plongeant dans le tourment,
Mais ils ont fêté leurs noces de diamant,
Envers et contre tous les événements."
Cher Claude je te souhaite point de douleurs dans ce weekend
que les maux s’apaisent et la sereinité pour tous les deux
Mes pensées sont sur ton balcon
Avec mon affection et des bisous
de moi...à toi
Mamie marielle.
suis en travaux...intérieur de mon appartement jusquà fin aout....je n'aurai guère accès à mon ordinateur je pense.....c'est le grand chef qui commande.....................mes pensées resteront avec vous deux.............je vous embrasse.
danielle
bonjour mon cher Claude , un petit coucou en te souhaitant une belle semaine et prenez bien soin de vous A++ amicalement
bonjour Claude
Un petit coucou pour te souhaiter une bonne journée
en espérant que tout va pour mieux pour toi
gros bisous
Marlène
Bonjour Claude
un petit coucou pour te dire que je pense bien à toi
même si je ne suis pas souvent sur le blog, il y a
des jours ou ce n'est pas le top mais je ne t'oublie
pas aussi en ce début de semaine je passe te souhaiter
une douce journée en espérant que tout va un peu mieux
je t'embrasse avec toute mon affection
Marlène
Ô printemps ! petit oiseau de passage, notre hôte d'une
saison qui chante mélancoliquement dans le cœur du poète
et dans la ramée du chêne !
Encore un printemps, - encore un rayon du soleil de mai
au front du jeune poète, parmi le monde, au front du
vieux chêne, parmi les bois !
Aloysius Bertrand
"Le bouvreuil a sifflé dans l'aubépine blanche ;
Les ramiers, deux à deux, ont au loin roucoulé,
Et les petits muguets, qui sous bois ont perlé,
Embaument les ravins où bleuit la pervenche."
André Lemoyne
les jardins nous appellent...
Le soleil illumine nos journées et offre une douce chaleur
qui réchauffent nos corps
Ca sent bon, tout ce vert qui efface la grisaille de l'hiver
Profites de ce retour du beau temps...
Sort et respire Claude
Sortez et vivez...
Un jardin sous mes mots
Roses, jasmins, iris, lilas, volubilis,
Cerisiers du Japon et jeunes arbousiers,
Colorant le matin de leurs chants printaniers
Adornent mon jardin de vivants ex libris.
Abeilles et frelons s’y disputant les lys,
Piétinent les pistils sans aucune pitié,
Alors que, s’échappant des pages d’un herbier,
Un papillon de nuit dévore un myosotis.
Solitaire et pensif, un arôme somnole
Sous le dais argenté d’un antique olivier,
Dont l’ombre de satin imite l’Acropole.
Dans mon jardin aussi, le soleil a planté
Une pure fontaine, comme un encrier,
Où je plonge ma plume et bois l’éternité.
Francis Etienne Sicard, 2009
Pour le "8 MAi" de J.Brel
"Le seul fait de rêver
est déjà important.
Je vous souhaite
Des rêves à m’en plus
finir,
Et l’envie furieuse
D’en réaliser quelques uns.
Je vous souhaite
D’aimer
Ce qu’il faut aimer,
Et d’oublier
Ce qu’il faut oublier.
Je vous souhaite
Des passions,
Je vous souhaite
Des silences,
Je vous souhaite
Des chants d’oiseaux,
Au réveil
Et des rires d’enfants,
Je vous souhaite
De résister
A l’enlisement,
A l’indifférence,
Aux vertus négatives
De notre époque.
Je vous souhaite
Surtout
D’être vous."
de J. BREL
Et d'étre TOI cher Claude !
En cette journée du 8 MAI
Je t'embrasse très fort.
de moi...à toi
Mamie Marielle.
Sur un chemin de terre
Délaissé par le temps,
Dans un autre univers,
Où les mots sont du vent,
Si parfois je m'éloigne,
Par erreur, par mégarde,
Je vous serre dans mes bras,
Et dans mon coeur je vous garde.
Dans mes rêves éveillés,
Aux couleurs du printemps,
Où vos yeux verts émeraude,
On la couleur du diamant,
Si parfois je m'éloigne,
Par erreur, par mégarde,
Je vous serre dans mes bras,
Et dans mon coeur je vous garde,
Dans les choix, les dilemmes,
Où je vous porte en avant,
Là où mon âme solitaire,
Se bat sans relâchement,
Si parfois je m'éloigne,
Par erreur, par mégarde,
C'est vous que j'emporte,
Et dans mon coeur je vous garde...
Carole RIQUETps: grâce à toi cher ami Claude, je lis des poèmes
16corinne56Jeudi 5 Mai 2016 à 09:50Bonjour Claude, j'espère que cette journée t'apportera tout le bonheur que tu mérites, tu ne quittes pas nos pensées, nous espérons toujours que la maladie te laisse enfin en paix, nous ne regrettons qu'une chose, c'est de ne pas résider près de chez toi, nous pourrions t'apporter l'aide et l'assistance dont tu as tant besoin.
On t'aime et on t'aimera toujours
Amicalement
Claude
"Depuis toujours le blanc muguet,
Qu'il soit en brin ou en brassée,
Porte à ceux qui l'ont mérité
Joie, bonheur et prospérité".
Joli muguet, au mois de mai fleurit,
Pour nous charmer de son parfum de lys.
Rien n'est plus frais que ses corolles pâles
Offertes par une main amicale."
Sous une averse de lumière,
Les arbres chantent au verger,
Et les graines du potager
Sortent en riant de la terre.
Les yeux brillants, l’âme légère,
Les fillettes s'en vont au bois
Rejoindre les fées qui, déjà,
Dansent en rond sur la bruyère.
Carillonnez ! car voici Mai !
Cloches naïves du muguet !"
Maurice Carême
Je t'ai envoyer le muguet du Berry.
Qu'il porte dans ta maison fleurie
Beaucoup de bonheur et dans ta vie
Que passe surtout la santé ici
Beaucoup de bisous aussi...
Bonsoir dans ma nuit Poète ! Je suis contente que tu donnes de tes nouvelles qui ne sont sans doute pas des meilleures puisque tu dis ne pas pouvoir revenir, Mais nous pensons tous à toi !!! Prend soin de toi et de ta maman ! gros gros bisous !
Il est 23 h 30, je vais aller me coucher avec le parfum du muguet ...
Merci pour ce joli billet
Je te souhaite un bon mois de mai, cher Claude, prends soin de toi
Bisous bisous
Lili
bonsoir mon cher Claude , ton poème est très beau et ne t'en fait pas ... on ne t'oublie pas !
prend soin de toi et de ta maman et profitez du soleil et des choses de la vie ... accessible !!
on vous embrasse Albert et Danielle amicalement prend soin de tes yeux et +++
pour rêver un peu ... sur le canal de la Garonne !
6ParadisaliaVendredi 29 Avril 2016 à 22:35Un bouquet de parfum ! Merci ! Bises ClaudeJe suis tellement contente d'avoir de tes nouvelles
Ce joli poème
Ce bouquet de muguet
Merci à toi pour tes ces attentions délicates que tu distilles sur la blogosphère
@ très bientôt
Amicalement
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