•    LA NUIT DES ROSES


    La nuit des roses  
      
     Il est d’étranges nuits où le parfum des roses,
       Embaume les cœurs, qui deviennent tout roses.
       Dans ces beaux soirs d’été on ferme les paupières,
       Enivré du soleil qui réchauffe les pierres.
       Les pétales de roses dans la nuit des flambeaux,
       S’illuminent de lune charmées par son halo.
       Séléné : La reine de la nuit enflamme les cœurs,
       Sa pudeur, son mystère excite les désirs admirateurs.
       La rose blanche de la nuit, capture les sentiments,
       De son parfum divin les étoiles brillent au firmament.


    Une rose pour tous, une rose  en merci,
    Une rose pour la vie,
    Une rose qui jamais vous oubli,
    Une rose gardienne de vie,
    Une rose .
    Claude


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  •  

    NICE

    NICE

    On a beau être fort et ne pas avoir peur
    De noirs événements bouleversent nos cœurs,
    Nous font retrouver le temps,
    Des larmes de sang.
    Par le fanatisme d’un être en faiblesses,
    Comment crier notre détresse ?
    Il a souillé nos mains, les cœurs de tout le monde,
    Il est temps d’entendre les cris de la rue qui pleurent et grondent,
    Le noir s’attache à nos pas tristesse sombre,
    On ne marche plus vers le soleil on voit des ombres.
    Va-t-on continuer longtemps à faner des couronnes de roses ?
    Pour être sans pitié quand elles seront écloses.
    Le désespoir est cruel quand il partage la vie,
    C’est  un siècle d’épouvante où tous les justes meurent,
    Le monde entier à chaque instant pleure,
    Ce monde dans ses vies devient irascible,
    Les innocents y sont toujours pris pour cibles.
    La violence de faire silence achève l’esprit.
    Seul un esprit pur peut nous sortir du rêve de l’enfer,
    Pour que l’onde des voix profondes nous éclaire l’éther.
    Le soleil arrêtera de se noyer dans le sang de l’inconnu,
    Pour briller à nouveau dans le temps où il s’est perdu


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  • prisonnier de la vie

     
     PRISONNIER DE LA VIE

     
    Je suis prisonnier de la vie,
      Même l’azur dans mes yeux fuit.
      Bourgeons de juillet,
      Court sera ton été.
      Les douleurs de l’automne,
      A ton cœur monotone,
      Les chagrins en rosées,
      Un hiver en gelées,
      Glaceront tes pensées.
      Les jours ensanglantés,
      Le mal à te ronger,
      Pour une âme brisée.
      Par-dessus les yeux,
      Dans les cieux,
      Par-dessus le temps,
      Les douleurs du vivant,
      Gravées et incrustées,
      Dans les jours, les années.
      Les vertiges invalidants,
      Vagues en roulis d’océan.
      Voir la rose ses pétales bordés noirs,
      Parfum de voix plus d’espoir,
      Trop d’instants sans présent,
      Je ne suis plus maintenant.
      Je suis sans être vraiment,
      Mais je suis impuissant.
      Cette rose ne me voit plus,
      Mon cœur lui éclaire la vue,
      L’âme se cache sous le vent,
      Dans son courant ascendant.
      Les jours les nuits en turbulence,
      Le seul amour pour défense,
      L’antidote salvateur des soucis,
      Prolonge les jours en vie.
      Mais toujours vivre en douleurs,
      Le sang saigne au cœur.
      Il saigne pour une rose,
      Par toutes ne connaîtra jamais de pause.
    Les fleurs de l'été
    Ne me font plus rêver
    Mon âme est morte,
    Seul le vent la porte
      Je suis prisonnier de la vie.



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