• ECOUTER LE COEUR DES ANGES......

       

     ECOUTER LE CŒUR DES ANGES

       
    J’ai écouté le cœur des anges
        OH ! Bonheur, au jardin des louanges
        Le mien dans son âme troublée
        A répété l’écho vivant de la voie lactée
        Comme dans un  rêve et sa douce contrainte
        Mon âme s’est laissée porter par cette douce étreinte
        Maintenant que j’ai pu capter le bonheur de ses ondes
        J’ai ressenti en moi des vérités profondes
        La volonté est miracle de se sentir tout petit dans cette immensité
        J’ai trouvé la raison du combat dans l’adversité
        Tous les morceaux dans ce cœur un peu brisé
        M’ont portés à croire, me voilà apaisé
        J’étais seul, j’avais conscience de ce que je devais faire
        Je savais ce que j’étais, mon cœur n’a pu se taire
        Ce cœur a saigné, dieu l’a voulu ainsi
        Je crois à genoux que je possède l’infini
        Car je ne voyais qu’un seul côté des choses
        J’ai subit toutes les situations sans en connaître les causes
        On possède tout, en un instant le ciel nous les retire
        Tous les biens que la vie ici bas nous fait vivre
        Mais je ne me plains plus, je sens dans le vent les parfums de la vie
        Le chant des oiseaux, tombe sur ma rose d’ici
        Les douleurs du poète quittent l’horizon de la terre
        Ses pleurs sont des perles qui illuminent ses paupières
        Ses yeux s’ouvrent dans cette nuit céleste
        Je vois l’ange qui m’écoute, et sur mon cœur il reste
        J’ai écouté : le cœur des anges

    Je prend quelques temps pour me soigner
    Après interventions chirurgicales
    Pause nécessaire
    A bientôt
    Claude


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  • CHATEAUX EN ESPAGNE

     
     
    CHÂTEAUX EN ESPAGNE Où AILLEURS

     
     
    Ai-je rêvé de châteaux en Espagne ?
       En restant prisonnier ici dans les montagnes
     
    J’ai malgré tout rêvé au pays de cocagne
       Je n’étais pas le roi de Tolède ni celui de Castille
       Mais j’ai vu un grand royaume qui n’avait pas de grilles
     
    Un palais, son donjon là bas un cadafal
       Les roses de Corfou y régnaient en festival
       Lumineuses et royales toutes ces fleurs célèbres
       Tirant leurs beautés des grandes eaux de l’Ebre
       Cette magnificence emplissait la cour de mon cœur
       Mon sang, y puisait l’or de son bonheur
       Un bonheur de lire aussi Federico Garcia Lorca
       Un guide de l’esprit au delà de Sintra
       Je n’étais point prince Maure, mais celui de la rose d’or
       Sa beauté blanche et pure dans mes yeux brille encor
       Le temps n’est plus un rêve, mais devient réalité
       Toujours voir dans les yeux des pétales étoilés
       Qui n’a jamais fait de châteaux en Espagne ?

    JE SUIS CHARLIE
    JE CHANTE AVEC TOI LIBERTÉ


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  •   

             

    A TOI CHARLIE


    IL Y AVAIT CHARLIE

    LA PATIENCE DES PIERRES
    Il y avait :
    ces murs de pierre où le vent se brisa, sur les rêves des hommes, venus de l’autre côté des siècles et de la mer
    Il y avait :
    Cette croix grise par temps de pluie,
    Blanche par temps de ciel, quand la lumière pose son poids de neige sur la terre
    Il y avait :
    Cette île ouverte au jour de l’équinoxe, et la fleur fragile parmi le vent forte, parmi la vie
    Ce poème est de YVON LE MEN
    Il m’a était offert par :MARIELLE POESIE
    Il m’a inspiré le texte ci-après

    LA SUITE  QUE JE LUI DONNE POUR CHARLIE

    Il y avait :
    Les yeux masqués, les yeux éteints, impur glaçon, monstre de deuil
    Honteuses ténèbres aux mêmes larmes, du même œil
    Il y avait :
    La nuit dans l’ombre, où pleure le silence , en tout lieu, en même temps, le mort couché dit au vivant : debout
    Il y avait :
    L’aube du jour où les pierres s’agitent, imitant dans l’ombre qui tremble, les mains accablées sous l’âpre rafale
    Il y avait :
    Les agneaux de l’innocence, au cœur plein de fleurs, que les flocons encensent, leur soleil s’est empourpré du sang, où filent les étoiles du soir
    Il y avait :
    LA LIBERTE
    LA NEIGE EN DEUIL

     IL Y AVAIT CHARLIE
     
    LA PATIENCE DES PIERRES
    Il y avait :

    ces murs de pierre où le vent se brisa, sur les rêves des hommes, venus de l’autre côté des siècles et de la mer
    Il y avait :
    Cette croix grise par temps de pluie,
    Blanche par temps de ciel, quand la lumière pose son poids de neige sur la terre
    Il y avait :
    Cette île ouverte au jour de l’équinoxe, et la fleur fragile parmi le vent forte, parmi la vie
    Ce poème est : de YVON LE MEN

    LA SUITE JE LUI DONNE POUR CHARLIE

    Il y avait :
    Les yeux masqués, impur glaçon, monstre de deuil
    Honteuses ténèbres aux mêmes larmes, du même œil
    Il y avait :
    La nuit dans l’ombre, où pleure le silence , en tout lieu, en même temps, le mort couché dit au vivant : debout
    Il y avait :
    L’aube du jour où les pierres s’agitent, imitant dans l’ombre qui tremble ; les mains accablées sous l’âpre rafale
    Il y avait :
    Les agneaux de l’innocence, au cœur plein de fleurs, que les flocons encensent, leur soleil s’est empourpré du sang, où filent les étoiles du soir
    Il y avait :
    LA LIBERTE
    LA NEIGE EN DEUIL


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  • CHATEAU INTERIEUR


      CHATEAU INTERIEUR

     Dans mon château intérieur
     La tour et le donjon du bonheur
     Ont perdus les granits roses du cœur
     Les jours, les mois, les années
     Les yeux pleurent la sombre éternité
     Trop de marches à monter de la nuit aux aurores
     Affronter le temps que les pierres ignorent
     Pas une ne s’attendrit ciselées par mes pas
     Mes pieds seront usés bien avant leur trépas
     Mais là haut, tout là haut m’éclaire une lumière amère
     Mon âme ainsi frappée, rien ne peut la faire taire
     Elle continue inlassablement de monter
     là haut dans ce donjon où elle retrouve sa réalité
     Y croire que son cœur est soumis mais pas résigné
     Il regarde ainsi les moments de sa vie
     Ce passé de tourments, une force dans son esprit
     Sentir venir à moi les ondes de l’éther
     Le destin me pénètre, et affronte l’enfer
     Le combat pour voir le cœur de ma dernière rose
     Encore longtemps, chaque jour, son parfum en osmose
     Portée par mes bras qui soutiennent ce rameau
     Le voir fleurir de ses belles couleurs à nouveau
     L’amour dissout le mal, pousse l’onde du combat jusqu’à s’exténuer
     Ne laisse pas le  temps de s’assoupir ni de se reposer
     Les premiers pas jouent sous le vent
     L’air du travail d’amour qui chante son présent
     La lumière d’un ange venu de l’infini
     Pour faire renaître une rose à la vie
     Dans mon château intérieur
     La tour et le donjon s’éclairent à nouveau d’un peu de bonheur




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